Victor Osimhen snobe Olamide, Wizkid et Burna Boy pour le morceau de Hasibe Turhan comme hymne de célébration de but

L'attaquant des Super Eagles Victor Osimhen a révélé son penchant pour la chanson turque « Yarim Yarim » de Hasibe Turhan, rapporte Soccernet.ng.

Le morceau, qui était le troisième single de Hasibe, est devenu viral en mai 2019, la catapultant sous les feux de la rampe et menant à un accord avec AYE Music en juin 2019.

Durant cette période, Osimhen rejoint le LOSC Lille en provenance du club belge de Charleroi, où il entend la chanson pour la première fois grâce à son coéquipier turc Yusuf Yazıcı, qui la lui présente lors des séances d'entraînement.

En réfléchissant à la chanson et en snobant des artistes comme Olamide, Wizkid et Burna Boy, Osimhen a partagé son enthousiasme quant à la possibilité de la faire jouer à chaque fois qu'il marque un but pour Galatasaray, ce qui ajoute une touche unique à ses célébrations.

« C'est une chanson de Lille, un coéquipier turc (Yusuf Yazıcı) l'a jouée à l'entraînement. J'ai aimé la mélodie et j'ai même une vidéo. Ce serait génial pour moi de l'entendre jouer à chaque fois que je marque un but ! », a-t-il déclaré, cité par Extra Futbol.

Osimhen a également exprimé son amour pour les artistes nigérians, en particulier Olamide, et a écouté Nas et Bob Marley dans le cadre de ses rituels musicaux d'avant-match.

« Pendant mon temps libre avant le match, j'écoute le rap d'Olamide. Il a récemment composé quelques morceaux qui m'inspirent vraiment. Olamide est mon meilleur musicien au Nigeria et j'ai une playlist dédiée à ses chansons.

« Avant d'aller aux réunions d'équipe, je dis mes prières. Ensuite, pendant que je suis dans le bus de l'équipe, j'écoute « Only the Strong Survive » de Nas et Damian Marley.

« Quand j'écoute ces chansons, je me prépare mentalement à la bataille sur le terrain. « Only the Strong Survive » signifie que je veux gagner, je ne veux pas perdre. Ce sont les chansons qui me motivent à élever mon niveau de jeu », a déclaré Osimhen dans une interview avec Pooja.

Il est intéressant de noter que la préférence d’Osimhen pour « Yarim Yarim » par rapport à d’autres musiciens nigérians en vogue reflète son effort pour embrasser la culture turque, rendant son séjour en Turquie d’autant plus confortable.